Le boomerang…
Il y a très longtemps, au début du Rêve, les hommes ne savaient pas encore marcher. Il faut dire que le ciel était tellement bas, qu’ils étaient obligés de ramper. C’est en cette époque qu’un chef avisé eut la plus géniale des idées. Pendant qu’il était en train de désaltérer à un point d’eau, il aperçut un bâton aux formes étranges et se dit que, peut-être, s’il savait bien l’utiliser il pourrait alors repousser le ciel. Dans sa sagesse, il lança le bâton et celui-ci effectuant de magnifiques volutes s’envola et frappa le ciel. Il le récupéra puis le lança encore et encore. Et à chaque fois, le ciel était repoussé un peu plus loin. Bientôt fut accomplie son œuvre et partout les créatures explosèrent de joie. On vit les kangourous sauter, les arbres croître et les hommes se mirent enfin debout. Son œuvre achevée, le chef voulut se débarrasser de son bâton à présent inutile et vilainement courbé. Toutefois alors qu’il venait à peine de le lancer au loin, quelle ne fut pas sa surprise de le voir revenir dans sa main. Ainsi naquit le premier boomerang.
Suggestions :
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17 – terre – earth – 地球 – Erde – terra – tierra – 地球 – земля́
Mère nourricière, la Terre
birth
Dans la pluralité de ses reliefs, désert
désert
Montagnes
montagne
Vallées
vallée
Volcans
volcanLa terre dont les sols
sol
Parfois tremblent
tremblement de terreLa terre divisée en continents
continentLa terre dont le climat varie
birth
Ici la pluie
pluie
Là la neige
neige
Et là le vent
ventPuissance des eaux, de la mer
mer
Des fleuves et des lacs
fleuve / lacLa terre, un monde…
monde
Unideo
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42 – objet – thing – 物 – Ding – cosa – cosa – 物 – вещь
Les objets qui nous entourent
objet
Les objets que l’on partage
partager
Que l’on coupe
couper
Que l’on colle
coller
Que l’on joint
joindre
Que l’on emballe
emballer
Que l’on accroche
accrocherLes objets qui contiennent ou sont contenus
contenant
Comme cette boîte
boîte
Qui semblent pleins
plein/e
Ou vides
vide
Les objets qui couvrent
couvrirLes objets posés dessus
dessus
Dessous
dessous
Dedans
dedans
Dehors
dehors
Devant
Derrière
devant
Autour
autourLes objets qu’on met en ordre
ordre
Les objets qu’on plie
plier
Les objets fragiles
fragile
Qui se cassent parfois
casser
Les objets que l’on ouvre
ouvrir
Et ceux que l’on ferme
fermer
Les objets qu’on entasse
entasser
Les objets qu’on stocke
stockerQue d’objets, utiles ou inutiles,
Auxquels nous sommes ou non attachés,
Et parfois plus rien…
rien
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agriculture
Parce qu’elle renvoie à l’art de cultiver la terre, c’est-à-dire étymologiquement d’en « prendre soin », afin d’en tirer durablement la subsistance nécessaire à tous, l’agriculture, et ceux qui la pratiquent, sont les mieux placés pour avoir conscience de la valeur des ressources planétaires, et de leur processus de renouvellement – ils sont en cela les premiers et véritables écologistes ! Hélas l’activité agricole peut être aussi selon la logique de la survie, ou celle du profit, un levier de leur destruction, à grands renforts de chimie, de déforestation, de pollution des eaux, de destruction des écosystèmes qui l’ont portée, et autres accélérateurs de mal-être / L’agriculture pose donc la question d’une gestion opportune des ressources planétaires (végétales et animales) dans le but de satisfaire les besoins des populations not. alimentaires, en conscience de l’impact des activités nécessaires pour y parvenir, de la qualité qui en résulte, et de leur renouvellement, et s’y emploie (ou non)
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amphibien
Tout animal vertébré tel que grenouille, salamandre, vivant sur terre et eau, et bénéficiant ainsi de l’ambivalence symbolique qui peut y être attachée.
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arc-en-ciel
Phénomène coloré qui se produit dans le ciel en accompagnement de contextes orageux et de la présence du soleil ◊ Ses couleurs ont été revendiquées comme symbole de ralliement tant des populations incas (→ wiphala) que du mouvement des homosexuels ◊ Dans les représentations traditionnelles, l’arc-en-ciel est hautement personnifié et renvoie au message des Dieux.
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astre
Tout corps céleste considéré en lui-même ou dans son rapport à la Terre, voire à l’idée que peuvent s’en faire certaines représentations scientifiques ou spirituelles.
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australiennes
nom en anglais : Australian
ISO : aus
PAYS : Australie
Famille : australiennes
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avion
Engin volant à bord duquel les hommes sont parvenus à franchir massivement l’espace et le temps, qui les porte d’un lieu à l’autre de ce monde, à courte ou longue distance, et qui suppose une mise en œuvre technique, une gestion des activités et des moyens, et supposerait idéalement une responsabilité à la hauteur de ce défi historique □ L’impact occasionné par ses usages, qu’il soit écologique, économique, culturel, etc., fait de l’avion et plus largement de l’aviation un secteur décisif dans l’évaluation du progrès individuel et collectif des humanités.
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catastrophe
Désigne le résultat provoqué par un événement soudain ayant de graves conséquences : humainement ou matériellement. Lorsqu’on parle de catastrophe naturelle, il s’agit de phénomènes déclenchés par la terre : séisme, éruption volcanique, tsunami, inondations … Grâce à la science, l’être humain est aujourd’hui capable de prévoir l’arrivée d’une catastrophe naturelle. Mais celle-ci est parfois imprévisible et renvoie à sa propre définition de l’inattendu. Ces effets souvent désastreux, sont de plus en plus considérés comme le résultat de l’activité humaine négative sur la planète.
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cerf-volant
Objet céleste, issu d’une ingénieuse fabrication mariant robustesse et légèreté, qui fait la joie des petits comme des grands en effectuant de magnifiques mouvements dans les airs, à la faveur du vent, de ses caprices, et de l’expertise de qui tente tout en bas à l’aide d’une ou plusieurs ficelles d’en contrôler la direction (avec ou sans succès).
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continent
Découpage de l’espace terrestre en grands ensembles limités par les océans, renvoyant aux reliefs, environnements, pays, et donc influences réciproques qui les caractérisent, tout comme aux représentations (internes ou externes) qui leur sont liées.
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coréen écr
Système : alphabetCode : Hang
Nom commenté : hangeul (cor. « la grande écriture ») – à l’origine nommé pantchel
Signes : 40 comptant 19 consonnes et 21 voyelles
Sens d'écriture : gauche à droite
Zones : Corée
Langues transcrites : coréen
Date de création : 1443 (diffusion en 1446)
Créateur : A la demande du Roi Sejong (1397-1450)
Traces - textes les plus anciens : Le Chant des Dragons Volant dans le Ciel » (yongbi ŏch’ŏnga) (1445)
Styles : Bien noter les différences d’écriture entre Corée du Nord et Corée du Sud – Parmi celles-ci on notera que le classement des lettres n’est pas identique, de même que le nom de certaines consonnes, ou encore l’interdiction d’introduire des noms occidentaux en Corée du Nord, etc.
Particularités : Les trois voyelles de base ont un sens symbolique : le trait horizontal désigne la terre (principe Yin), le point indique le ciel (principe yang) et selon la tradition chinois, le trait vertical représentant l 'homme garantit le lien entre terre et ciel.
Il existe une journée de commémoration du hangul dont la première édition date de 1926 et qui se situe aujourd’hui le 9 octobre en Corée du Sud et le 15 octobre en Corée du Nord.
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dragon
« Que ne puis-je monter sur un dragon céleste – Pour respirer l’essence du soleil et de la lune – Afin d’être immortel ! » – Lǐ Bó (701 – 762)
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envers
« Peut-il y avoir sur terre un endroit où les choses sont à l’envers, où les arbres poussent vers le bas tandis que la pluie, la grêle et la neige tombent vers le haut ? L’idée folle selon laquelle la terre est ronde est la source de cette légende imbécile. »
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extinction
« Depuis que la vie est apparue sur la Terre il y a quelque 3 milliards et demi d’années, l’extinction des espèces est un phénomène normal et attendu, comme un bruit de fond récurrent nécessaire à l’émergence de nouveauté et de complexité (…) L’histoire de la vie est donc loin d’être un long fleuve tranquille, jalonnée qu’elle fut de crises et de violences dont on peut démontrer qu’elles sont génératrices de diversité biologique. Mais la crise actuelle, dont la sévérité ne sera pas moindre que celles des précédentes, a pour triste particularité d’être due à l’impact de l’homme qui porte donc la lourde responsabilité de s’immiscer dans des processus de nature géologique. » Jacques Blondel
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fusée
Moyen de locomotion d’objets ou de personnes visant à assurer un déplacement spatial, portant dans une zone difficile à observer pour le commun des mortels, les ambitions, les rêves, mais aussi les appétits ou encore les conflits, des acteurs susceptibles de s’y engager.
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géologie
Science qui a pour but d’étudier l’origine de la Terre, son histoire et sa structure, permettant de mieux comprendre les forces qui ont agi sur son évolution depuis plus de 4 milliards d’années et qui continuent d’agir aujourd’hui.
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A planet of the solar system, 4.56 billion years old – Satellite: Moon. The only planet on which life is known to exist, including the human species, raising the question of its relation to other species and to itself.
An indefinition is never final - you can modify or supplement it according to your own practices, opinions, knowledge, cultures or history.
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Il était une fois deux frères ennemis, Osiris et Seth…
Osiris était fils de Geb, dieu de la terre, et de Nout, déesse du ciel. Il était aussi le frère de Seth. Or à sa mort, Geb décida de partager son royaume en deux. Partage bien inégal puisqu’il confia à Osiris les terres fertiles, et à Seth les terres rouges du désert. De quoi, on le comprendra, nourrir beaucoup de rancune chez l’infortuné Seth. Puis Osiris épousa Isis et on dit que leur union fut heureuse. Ils dispensèrent leurs bienfaits aux hommes, Osiris leur apportant la culture du blé, la pêche, et Isis la médecine, le tissage. Mais Seth ne s’avoua pas vaincu, et il attendit patiemment son heure. Lors d’un banquet auquel il avait convié 72 de ses amis, il proposa à chacun des convives de s’allonger dans un coffre promettant de l’offrir à celui qui y tiendrait parfaitement. Les complices de Seth s’y essayèrent mais aucun d’eux n’avait la taille voulue. C’est lorsque le tour d’Osiris arriva que tous purent constater qu’il y tenait à merveille, le coffre semblait fait pour lui. En vérité il l’était. Tant et si bien que les auteurs du complot, Seth en tête, fermèrent le coffre sur lui puis le jetèrent dans les eaux du Nil non loin de Byblos. Osiris s’y noya. Mais Isis, épouse fidèle, n’avait pas dit son dernier mot. Elle partit en quête de son corps et, finit par le trouver. Elle le ramena en Egypte. Toutefois Seth profita d’un moment de relâchement pour découper le corps et en éparpiller les morceaux. Isis partit une nouvelle fois à leur recherche et à chaque fois qu’elle en trouva une partie, l’ensevelit sur place. C’est ainsi qu’elle enterra la tête à Abydos, le cou à Héliopolis, et ainsi de suite. Seul son sexe avait été avalé par un crocodile. Puis elle reconstitua son corps, et grâce à l’aide d’Anubis, se fit féconder. Horus devait naître de leur union. Elle embauma le corps, initiant la première momie, et c’est ainsi qu’Osiris devint le seigneur de l’Au-Delà, présidant à la pesée des âmes, assisté de Thot et Anubis. Quant à Horus, dieu à tête de faucon, dont le nom signifie « vengeur de son père », il s’opposa bientôt à Seth, dans une lutte sans merci. Il devait y perdre un œil* mais y gagner l’admiration de tous, devenant ainsi le symbole de la piété filiale.
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Jardin des Hespérides…
Il était un jardin connu pour abriter un pommier quelque peu spécial puisqu’il portait de célèbres pommes d’or. Gaia (la terre) l’avait offert à Héra en cadeau de mariage. Ajoutons que ce jardin était férocement gardé par un dragon, dénommé Ladon, depuis qu’Héra avait observé que les filles d’Atlas, les Hespérides, n’hésitaient pas à chaparder ces fruits exceptionnels. De son côté Atlas avait été prévenu qu’un fils de Zeus tenterait un jour de s’en emparer. C’est pourquoi il avait érigé des murailles tout autour de son jardin, dont l’emplacement du reste était tenu en grand secret. Lors de ces douze travaux, Hercule fut chargé d’aller les chercher. Ne sachant dans quelle direction s’élancer, il recourut aux services de Nérée qui, tentant de s’y soustraire, finit tout de même par lui conseiller de faire intervenir Atlas lui-même. Or entre-temps le sort d’Atlas avait connu une sévère infortune. Dans une lutte l’opposant à Zeus, dont il était sorti vaincu, il avait été condamné à supporter pour l’éternité le poids de la voûte céleste. Aussi Hercule songea-t-il qu’il pourrait aisément marchander son concours. Il lui proposa de porter un temps la voûte à sa place pendant que lui-même irait chercher quelques pommes. Restait à réduire la farouche résistance de Ladon, le dragon, qui lui fut acquise avec l’aide d’Hercule. C’est ainsi qu’Atlas revint victorieux, non sans songer à présent qu’il était libéré de cette épouvantable contrainte et qu’il pourrait fort bien la laisser à Hercule. Il lui annonça qu’il se rendrait lui-même auprès d’Eurysthée avec les pommes. Ce dernier dut alors recourir à une ruse pour tromper Atlas prétextant qu’il voulait juste s’emparer d’un coussin. Son stratagème porta (doublement) ses fruits. Et Atlas de nouveau enchaîné à son destin le regarda s’éloigner sans espoir de se recouvrer sa liberté. On dit qu’il la dut à Persée qui, grâce à la tête de la gorgone, le pétrifia, le transformant ainsi en un majestueux massif qui aujourd’hui encore porte le nom de l’Atlas.
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La légende du koala
On dit qu’une tribu recueillit un enfant à la mort de ses parents… Hélas, on ne fut pas très gentil avec lui et plus que tout, on l’assoiffait régulièrement ne lui donnant rien à boire, l’obligeant ainsi à mastiquer des feuilles d’eucalyptus. Un jour que les gens étaient partis à la chasse, l’enfant s’empara des récipients contenant l’eau et s’y abreuva abondamment puis il les emporta dans un eucalyptus. Tandis qu’il entonnait un chant magique, l’arbre grandit à perte de vue et l’enfant y grimpa pour se mettre à l’abri. À peine revenus de leur chasse, les gens s’aperçurent de ce qui s’était produit et prièrent l’enfant de leur rendre leurs récipients. S’il refusa tout d’abord, la promesse qu’ils lui firent de le traiter désormais plus gentiment finit par le convaincre. C’est pourquoi il descendit bientôt et les rejoignit. Mais lorsqu’il fut à leur portée, rompant leur promesse, les personnes le frappèrent de tous côtés. C’est alors qu’une chose extraordinaire se produisit car, sous leurs coups, l’enfant se transforma. Il se tassa, se couvrit de poils et tel un koala gagna en toute hâte l’eucalyptus dans lequel il prit la fuite pour ne plus jamais revenir.
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La petite fille aux allumettes
(d’après Hans Christian Andersen) Une petite fille sortit de chez elle dans le froid glacial de l’hiver. Elle ne subsistait qu’en vendant aux passants compatissants, quelques allumettes. Ce soir là, elle avait enfilé une paire de pantoufles trop grandes pour elle. Et les avait aussitôt perdues en esquivant le flot de la circulation. Tout autour d’elle l’empressement du Nouvel An battait son plein. Et la neige tombait. La petite fille savait qu’elle ne pouvait rentrer chez elle sans devoir affronter la brutalité de son père. Elle n’avait encore vendu aucune boîte d’allumettes et vacillant sur ses pieds brûlés par le froid, la rue lui paraissait un univers sombre et vide. Bientôt elle décida de se protéger dans le recoin d’une demeure. Et là, elle s’abattit de tout son petit poids, tentant de se blottir contre les murailles glacées. La Cité tourbillonnait d’énergie autour d’elle mais elle n’en recevait que l’écho sourd et lointain. C’est alors qu’elle décida de frotter une allumette. À peine celle-ci fut-elle allumée qu’il lui sembla qu’elle dégageait un rayonnement infini. Elle vit un poêle se dresser devant elle contre lequel elle s’empressa de presser ses pieds. Hélas l’allumette s’éteignit et le charme disparut avec elle. Alors elle décida de frotter une seconde allumette et là la magie opéra de nouveau. Elle vit une oie rôtie et en sentit tout l’arôme. Puis une fois encore l’émerveillement fut interrompu. De nouveau elle alluma ce petit bois magique et ce fut à présent un magnifique sapin tout illuminé qui se manifesta dans sa splendeur. Puis comme précédemment, il s’éteignit et une petite lueur s’en échappa qui gagna le ciel. La petite fille savait que cela signifiait qu’une personne mourrait bientôt, ainsi le lui avait confié sa grand-mère, dernièrement disparue. Alors, tandis qu’elle frottait une nouvelle allumette, c’est précisément sa grand-mère qui lui apparut. Elle qui l’avait tant aimée, et qu’elle chérissait plus que tout. Non, le charme ne cesserait point cette fois-ci. Une allumette après l’autre, elle maintint la présence de sa grand-mère. Celle-ci la prit dans ses bras et la porta devant le trône du Seigneur là où elle ne connaîtrait ni froid, ni faim, ni misère… Le lendemain du Nouvel An, des passants découvrirent dans ce petit recoin de la Cité, le corps d’une petite fille dont le froid avait volé la vie. Et chacun y alla de son commentaire. On aperçut bien les allumettes consumées, et certains firent même observer qu’elle devait être bien sotte d’avoir pensé qu’elles eussent pu la réchauffer. Qui se doutait alors qu’elle avait gagné le lieu de ses rêves, et qu’elle était à présent dans les bras de sa grand-mère loin de l’indifférence cruelle de ce monde ? Aussi amis, n’oubliez pas le soir du Nouvel An, si quelqu’un vous tend la main. Oui, n’oubliez pas de la réchauffer de votre bienveillance…
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La plume d’aigle et le déluge…
(conte crow) On dit que Unktehi, le monstre des eaux, décida un jour d’inonder la Terre. Il est difficile de savoir pourquoi, mais toujours est-il que le Grand Esprit le laissa faire. Aussi les eaux ne tardèrent-elles pas à monter et à tout submerger. Tout, sauf une petite montagne où les hommes se réfugièrent, juste à côté du village où l’on fabrique les pipes sacrées. Hélas la mort ne tarda pas à les y rejoindre et tous périrent. Tous, sauf une jeune fille que l’aigle Wanblee Galeshka vint agripper au dernier moment. Elle s’accrocha de toutes ses forces à ses pattes et c’est ainsi qu’elle fut sauvée. Puis ils se marièrent, car ces choses qui nous paraissent extraordinaires étaient autrefois possibles, et des jumeaux naquirent de leur union. Et c’est bien pourquoi, les Sioux continuent de porter une plume d’aigle en souvenir de ce sauveur. Au fait, le Grand Esprit finit par châtier Unktehi et le transforma en pierre !
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Là-haut…
« Lorsque là-haut le ciel n’avait pas encore de nom / Et qu’ici-bas la terre ferme n’avait pas de nom / Seul Apsou le premier, le progéniteur / Et Tiamat la génitrice qui les enfanta tous / Mêlaient en un seul tout, leurs eaux / Ni bancs de roseaux n’y étaient agglomérés / Ni cannaies n’y étaient discernables / Des Dieux nul n’était encore apparu / Ils n’étaient ni appelés de noms, ni lotis de destin… » Enuma Elish … Ainsi débute le grand texte sacré mésopotamien de l’Enuma Elish (qui en akkadien renvoie aux premiers mots : « Là-haut »). La suite raconte comment de l’Union de Tiamat, mère des eaux salées, et d’Apsou, père des eaux douces, naquirent les premiers dieux. Parmi eux se trouvaient An, qui lui-même enfanta Enki, mais aussi les Igigi et les Anunnaki, etc. Leur progéniture fut toutefois si vaste, et leur engeance si bruyante qu’Apsou conçut le dessein d’y mettre un terme. Or Enki en fut averti et, le devançant, le mit à mort. Puis il prit épouse et enfanta le divin Mardouk. Ce fut alors que Tiamat, pleurant la mort de son époux, entra dans un courroux sans égal. Naquirent en ces temps d’épouvantables monstres et Kingu, auquel fut confié le Destin. Mardouk fut chargé d’affronter pareille adversité. Mais il en fixa le prix : celui de régner sans partage. Il parvint alors à défaire ses ennemis, et en premier lieu Tiamat qu’il découpa en deux, créant le Ciel et la Terre, ainsi que montagnes, fleuves et au centre de tout : Babylone, la Cité sans pareille. Enfin furent créés les hommes, du sang de Kingu mêlé à l’argile. Hélas ceux-ci s’avèrent à leur tour trop dérangeants et un déluge les effaça de la surface de la Terre épargnant seulement l’un d’eux ainsi qu’un couple de chaque créature vivante.
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Les capteurs de rêve
Il était une fois un jeune homme qui partit à la chasse
Sa volonté était grande et son courage également
Son objectif : débusquer un orignal
Afin de satisfaire aux besoins des siensHélas la fortune ne fut pas de son côté
Et il s’avança fort loin
Tout en restant bredouilleC’est avec désespoir qu’il s’apprêtait à renoncer
Lorsqu’une grotte lui sembla un bon abri
Sur le chemin du retourIl s’y aventura lorsque, soudain
En surgit une bête effrayante
Prête à le dévorerIl s’enfuit à toutes jambes
Tout en craignant avoir été poursuiviPuis, pris d’une grande lassitude,
Il s’endormit
Pour une nuit pesante et inquièteEt ainsi furent désormais ses nuits
Peuplées de cauchemars
Et d’images monstrueuses se jetant sur luiToutefois, un jour, alors qu’il s’était assoupi dans la forêt
Quelle ne fut pas sa surprise au réveil
De constater que les cauchemars l’avaient quittéC’est alors qu’il aperçut
Non loin de sa tête, une toile d’araignéeIl tenta plusieurs fois la même expérience
Et fut en devoir de constater, qu’apparemment
Les toiles l’apaisaientEt c’est ainsi que naquirent les capteurs de rêves
Dits asubakatchin en langue ojibwé
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Les richesses de l’opale
Une légende aborigène dit qu’à l’origine du monde un arc-en-ciel déposa sur terre le créateur du Rêve. Il demeura un certain temps sur terre. Mais un jour, contre toute attente et dans le désarroi de tous, il décida de repartir. Alors l’arc-en-ciel l’emporta comme il était venu et disparut avec lui. Pourtant une chose inattendue survint car au pied de l’arc-en-ciel, sur la Terre d’Australie, le sol se transforma en pierres précieuses. Ainsi naquirent les richesses de l’opale… □ Coober Pedy en Australie du Sud en est la capitale, pas très loin de la Grande Clôture des Dingos – En langue aborigène, ce lieu signifie « trou de l’homme blanc » à l’image des 5000 km² de mines creusées dans tous les sens pour pouvoir accéder aux filons d’opale !
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minéral
Elément ou composé naturel inorganique, constituant de l’écorce terrestre, qui peut faire l’objet d’enjeux économiques et stratégiques majeurs.
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monde
Notion mouvante pouvant englober tout ce qui existe, ou simplement les êtres humains peuplant la Terre, voire de manière plus restrictive ce qu’on en connaît, le monde renvoie à la mesure de cette extension et de la place qu’elle prend dans le jugement.
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montagne
Lieu élevé dont l’ascension se caractérise par sa difficulté plus ou moins marquée (et son dénivelé) □ Par cette élévation, il peut ainsi rapprocher d’une entité (divinité), ou de soi-même □ Ce lieu est diversement habité (en collectivité, ou en ermitage) □ Il peut s’opposer à la vallée, ou à tout autre espace environnant (mer, désert, etc.), définissant ainsi un mode d’existence référentiel.
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Naissance de Tangun…
Hwan-in, maître du ciel, s’était aperçu que son fils Hwan-ung désirait plus que tout descendre sur Terre. C’est pourquoi il observa le monde des mortels et décida de l’envoyer sur le mont Taebak qui, comme on le sait, est le meilleur endroit qui puisse être. Hwan-ung s’y installa donc avec trois mille subordonnés, éleva un autel près d’un arbre de santal, et nomma ce lieu Shin-Si, ce qui signifie « cité divine ». Puis il enseigna aux humains l’ensemble des arts, la médecine, l’agriculture, etc. Or à cette époque, un tigre et une ourse vivaient ensemble dans une grotte, et partageaient un rtêve : devenir des hommes. Hwan-ung ému par leur souhait, voulut d’abord les mettre à l’épreuve. C’est ainsi qu’il leur confia quelques gousses d’ail et un bouquet d’armoise et leur annonça que s’ils réussissaient à s’en contenter durant 100 jours dans la grotte, leur vœu serait exaucé. Mais le tigre abandonna bien vite, et finalement l’ourse parvint à résister vingt-et-un jours. En récompense, l’ourse devint une superbe femme. Pourtant celle-ci ne fut pas entièrement satisfaite, car elle se sentait bien seule. Aussi Hwan-ung la prit-il pour épouse et de leur union naquit Tan-gun, fondateur en 2333 av. J.-C. du royaume de Ko-Chosŏn qui allait devenir la Corée. Le 3 octobre commémore cet acte de fondation de la Corée. Par ailleurs, la Corée du Nord a ouvert en 1994 un site où aurait été mise au jour la tombe de Tangun, assurant ainsi que la légende se confondait désormais avec les preuves historiques de l’existence de ce fondateur. Cette tombe se trouve au pied du mont Taebak dans le district de Kangdong près de Pyongyang.
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nature
Ensemble de tout ce qui forme l’univers et plus particulièrement la Terre indépendamment de l’homme.
Une indéfinition n'est jamais définitive - Vous pouvez la modifier ou la compléter selon vos propres pratiques, opinions, savoirs, cultures, histoire.
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océan
Vaste espace d’eau salée partiellement connu auquel nous devons des richesses fondamentales à la survie des espèces et en particulier la nôtre, et dont une mauvaise gestion (surpêche, déchets, pollution…) met en danger les équilibres fondamentaux directement ou indirectement.
Une indéfinition n'est jamais définitive - Vous pouvez la modifier ou la compléter selon vos propres pratiques, opinions, savoirs, cultures, histoire.
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Pangée
Selon la théorie de la tectonique des plaques, un supercontinent primitif hypothétique comprenant toutes les terres avant de se diviser en Laurasie et Gondwaland – Dérivé du grec ancien, pan : « tout, entier » et Gaia : « Mère terre, terre » – Proposé par Alfred Wegener en 1912 (L’origine des continents = Die Entstehung der Kontinente).
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According to the theory of plate tectonics, a hypothetical primitive supercontinent including all the landmass of the earth before spliting into Laurasia and Gondwanaland.
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parc national d’uluru-kata tjuta
« Ce parc, qui s’appelait autrefois parc national d’Uluru (Ayers Rock-Mont Olga), présente des formations géologiques spectaculaires qui dominent la vaste plaine sableuse du centre de l’Australie. L’immense monolithe d’Uluru et les dômes rocheux de Kata Tjuta, à l’ouest d’Uluru, font partie intégrante du système de croyances traditionnelles de l’une des plus anciennes sociétés humaines du monde. Les propriétaires traditionnels d’Uluru-Kata Tjuta appartiennent au peuple aborigène des Anangu. » (source : whc.unesco.org)
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planète
Corps céleste en mouvement dans l’univers, et plus particulièrement celui sur lequel l’espèce humaine a prospéré y profitant des conditions exceptionnelles de la Vie au regard limité de ce que nous en savons. De l’exploitation de ses ressources à sa gestion complexe et parfois chaotique, la relation à la planète témoigne de l’idée que les sociétés humaines se font de cet équilibre de la vie, et de la place que l’homme y prend, interrogeant leur volonté d’assurer ou non le bien-être de chacun, présent ou à venir. La dite « sauvegarde de la planète » ou sa « mise en danger » renvoient à cet équilibre de la Vie et à la manière dont les êtres humains sont et seront ou non capables d’en considérer la primauté par-delà leurs jeux d’intérêt ou de conflit.
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poids
Pression exercée par la pesanteur sur tout corps terrestre – Appréciation que cela peut suggérer relativement à un sentiment de légèreté ou au contraire d’accablement, objectif ou non.
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Rat musqué…
Un mythe originel raconte que le monde était autrefois peuplé d’animaux et vivait en paix. Hélas ceux-ci se disputèrent et il fallut que le Grand Esprit y mette un terme. C’est ainsi que le déluge les raya tous, ou presque, de la surface de la terre. Puis il fallut repeupler, et Wisakedjak demanda alors aux quelques animaux ayant survécu de plonger au fond des océans pour en revenir avec une poignée de terre. Nombre s’y essayèrent, comme le castor, la loutre, le canard… sans succès ! C’est alors que le rat musqué plongea à son tour. Trois soleils passèrent sans qu’on le vit refaire surface. Aussi le crut-on mort. Puis enfin il réapparut, au soulagement de tous, un sourire au coin des lèvres. Il avait réussi ! Wisakedjak accueillit cette poignée de terre non sans émotion et la déposa sur le dos de la tortue. Ainsi put reprendre le cours du nouveau monde, flottant sur une carapace de tortue. (s. : anishinabenation.ca).
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relief
Formes variées de la surface terrestre, souvent associées à un climat donné, influençant la vie qu’y mènent (ou non) les êtres vivants et en particulier les humains.
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renoncer
« Jouis des choses de la terre en y renonçant. » – Gandhi
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rêve
Fragment de temps et d’espace, généré par le sommeil permettant d’ouvrir, ou entrouvrir les portes d’un monde où certaines réalités s’estompent pour céder la place à la galaxie des possibles.
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rêve
rêve m. : « Littérature du sommeil. » – Jean Cocteau
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rêve
« Certes, un rêve de beignet, c’est un rêve, pas un beignet. Mais un rêve de voyage, c’est déjà un voyage – Marek Halter.
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rêve
« Le rêve est un phénomène que nous n’observons que pendant son absence. Le verbe rêver n’a presque pas de présent. Je rêve, tu rêves – Paul Valéry.
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rêve
« Le dictionnaire est une machine à rêver – Roland Barthes.
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site néolithique de Çatal höyük
« Les deux grands tertres de Çatal Höyük forment ce bien de 37 hectares situé dans le sud du plateau anatolien. Le tertre oriental, qui est le plus haut, présente 18 niveaux d’occupation néolithique datant de 7400 à 6200 av. J.-C. Il rassemble des peintures murales, des bas-reliefs, des sculptures et d’autres éléments artistiques et symboliques. Les deux tertres témoignent de l’évolution de l’organisation sociale et des pratiques culturelles au moment où les êtres humains s’adaptaient à la vie sédentaire. Le tertre occidental témoigne de l’évolution des pratiques culturelles pendant la période chalcolithique datant de 6200 à 5200 avant J.-C. Çatal Höyük fournit un important témoignage de la transition qui s’est opérée entre les villages et les agglomérations urbaines qui se sont succédé sur un même lieu pendant plus de 2000 ans. Il s’agit d’un site présentant une organisation unique composée de maisons serrées les unes contre les autres, sans rue, et avec accès par les toits. » (source : whc.unesco.org)
Çatal Höyük, la ville sans rues
Une anomalie urbaine ?
Peut-être si, pour nous
Toute cité doit répondre à un cahier des charges
Observer une série de normes
Parmi lesquelles la rue tient toute sa place légitime
Mais pourquoi ne pas nous ouvrir à d’autres options ?Çatal Höyük, « la colline de la fourche(tte) » (turc),
En activité dès le VIIIe millénaire avant notre ère, en Anatolie centrale
Mise au jour sous la direction de James MellaartEmploi important de l’obsidienne pour l’outillage
Présence marquée des bucranes
Figurines en terre cuite, dont celle de la « dame aux fauves »Çatal Höyük que l’on traversait par les toits, et les cours
Tandis que les demeures conservaient les défunts en leurs soubassements
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sol
Partie superficielle de la terre.
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soleil
Etoile centrale au système planétaire auquel appartient la Terre fournissant l’énergie nécessaire à la vie.
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solidarité
« Désormais la solidarité la plus nécessaire est celle de l’ensemble des habitants de la Terre. » Albert Jacquard
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souterrain/e
En profondeur de la terre, restant masqué aux yeux de ceux qui sont en surface, pouvant faire selon les espèces l’objet d’investigations diverses (abri, habitat, cachette, curiosité, exploration scientifique…).
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terre
Planète sur laquelle l’espèce humaine a prospéré y posant la question de son rapport aux autres espèces et à elle-même.
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txalaparta
Instrument d’origine basque consistant en une ou plusieurs planches de bois assemblées, posée(s) sur deux paniers ou appuis (recouverts de feuilles de maïs ou de peaux), et sur lesquels deux joueurs frappent à l’aide de bâtons nommés makilas □ Rappelant le galop du cheval selon certains, la txalaparta est un instrument puissant au rythme soutenu
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zodiaque
Ensemble de douze divisions stellaires, représentées par des signes attachées en particulier à la date de naissance et aux dates des événements de la vie, auxquelles certains attribuent des significations déterminantes.
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Suggestions :
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17 – terre – earth – 地球 – Erde – terra – tierra – 地球 – земля́
Mère nourricière, la Terre
birth
Dans la pluralité de ses reliefs, désert
désert
Montagnes
montagne
Vallées
vallée
Volcans
volcanLa terre dont les sols
sol
Parfois tremblent
tremblement de terreLa terre divisée en continents
continentLa terre dont le climat varie
birth
Ici la pluie
pluie
Là la neige
neige
Et là le vent
ventPuissance des eaux, de la mer
mer
Des fleuves et des lacs
fleuve / lacLa terre, un monde…
monde
Unideo
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17-wind
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42 – objet – thing – 物 – Ding – cosa – cosa – 物 – вещь
Les objets qui nous entourent
objet
Les objets que l’on partage
partager
Que l’on coupe
couper
Que l’on colle
coller
Que l’on joint
joindre
Que l’on emballe
emballer
Que l’on accroche
accrocherLes objets qui contiennent ou sont contenus
contenant
Comme cette boîte
boîte
Qui semblent pleins
plein/e
Ou vides
vide
Les objets qui couvrent
couvrirLes objets posés dessus
dessus
Dessous
dessous
Dedans
dedans
Dehors
dehors
Devant
Derrière
devant
Autour
autourLes objets qu’on met en ordre
ordre
Les objets qu’on plie
plier
Les objets fragiles
fragile
Qui se cassent parfois
casser
Les objets que l’on ouvre
ouvrir
Et ceux que l’on ferme
fermer
Les objets qu’on entasse
entasser
Les objets qu’on stocke
stockerQue d’objets, utiles ou inutiles,
Auxquels nous sommes ou non attachés,
Et parfois plus rien…
rien
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agriculture
Parce qu’elle renvoie à l’art de cultiver la terre, c’est-à-dire étymologiquement d’en « prendre soin », afin d’en tirer durablement la subsistance nécessaire à tous, l’agriculture, et ceux qui la pratiquent, sont les mieux placés pour avoir conscience de la valeur des ressources planétaires, et de leur processus de renouvellement – ils sont en cela les premiers et véritables écologistes ! Hélas l’activité agricole peut être aussi selon la logique de la survie, ou celle du profit, un levier de leur destruction, à grands renforts de chimie, de déforestation, de pollution des eaux, de destruction des écosystèmes qui l’ont portée, et autres accélérateurs de mal-être / L’agriculture pose donc la question d’une gestion opportune des ressources planétaires (végétales et animales) dans le but de satisfaire les besoins des populations not. alimentaires, en conscience de l’impact des activités nécessaires pour y parvenir, de la qualité qui en résulte, et de leur renouvellement, et s’y emploie (ou non)
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amphibien
Tout animal vertébré tel que grenouille, salamandre, vivant sur terre et eau, et bénéficiant ainsi de l’ambivalence symbolique qui peut y être attachée.
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arc-en-ciel
Phénomène coloré qui se produit dans le ciel en accompagnement de contextes orageux et de la présence du soleil ◊ Ses couleurs ont été revendiquées comme symbole de ralliement tant des populations incas (→ wiphala) que du mouvement des homosexuels ◊ Dans les représentations traditionnelles, l’arc-en-ciel est hautement personnifié et renvoie au message des Dieux.
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astre
Tout corps céleste considéré en lui-même ou dans son rapport à la Terre, voire à l’idée que peuvent s’en faire certaines représentations scientifiques ou spirituelles.
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australiennes
nom en anglais : Australian
ISO : aus
PAYS : Australie
Famille : australiennes
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avion
Engin volant à bord duquel les hommes sont parvenus à franchir massivement l’espace et le temps, qui les porte d’un lieu à l’autre de ce monde, à courte ou longue distance, et qui suppose une mise en œuvre technique, une gestion des activités et des moyens, et supposerait idéalement une responsabilité à la hauteur de ce défi historique □ L’impact occasionné par ses usages, qu’il soit écologique, économique, culturel, etc., fait de l’avion et plus largement de l’aviation un secteur décisif dans l’évaluation du progrès individuel et collectif des humanités.
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catastrophe
Désigne le résultat provoqué par un événement soudain ayant de graves conséquences : humainement ou matériellement. Lorsqu’on parle de catastrophe naturelle, il s’agit de phénomènes déclenchés par la terre : séisme, éruption volcanique, tsunami, inondations … Grâce à la science, l’être humain est aujourd’hui capable de prévoir l’arrivée d’une catastrophe naturelle. Mais celle-ci est parfois imprévisible et renvoie à sa propre définition de l’inattendu. Ces effets souvent désastreux, sont de plus en plus considérés comme le résultat de l’activité humaine négative sur la planète.
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cerf-volant
Objet céleste, issu d’une ingénieuse fabrication mariant robustesse et légèreté, qui fait la joie des petits comme des grands en effectuant de magnifiques mouvements dans les airs, à la faveur du vent, de ses caprices, et de l’expertise de qui tente tout en bas à l’aide d’une ou plusieurs ficelles d’en contrôler la direction (avec ou sans succès).
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continent
Découpage de l’espace terrestre en grands ensembles limités par les océans, renvoyant aux reliefs, environnements, pays, et donc influences réciproques qui les caractérisent, tout comme aux représentations (internes ou externes) qui leur sont liées.
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coréen écr
Système : alphabetCode : Hang
Nom commenté : hangeul (cor. « la grande écriture ») – à l’origine nommé pantchel
Signes : 40 comptant 19 consonnes et 21 voyelles
Sens d'écriture : gauche à droite
Zones : Corée
Langues transcrites : coréen
Date de création : 1443 (diffusion en 1446)
Créateur : A la demande du Roi Sejong (1397-1450)
Traces - textes les plus anciens : Le Chant des Dragons Volant dans le Ciel » (yongbi ŏch’ŏnga) (1445)
Styles : Bien noter les différences d’écriture entre Corée du Nord et Corée du Sud – Parmi celles-ci on notera que le classement des lettres n’est pas identique, de même que le nom de certaines consonnes, ou encore l’interdiction d’introduire des noms occidentaux en Corée du Nord, etc.
Particularités : Les trois voyelles de base ont un sens symbolique : le trait horizontal désigne la terre (principe Yin), le point indique le ciel (principe yang) et selon la tradition chinois, le trait vertical représentant l 'homme garantit le lien entre terre et ciel.
Il existe une journée de commémoration du hangul dont la première édition date de 1926 et qui se situe aujourd’hui le 9 octobre en Corée du Sud et le 15 octobre en Corée du Nord.
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dragon
« Que ne puis-je monter sur un dragon céleste – Pour respirer l’essence du soleil et de la lune – Afin d’être immortel ! » – Lǐ Bó (701 – 762)
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envers
« Peut-il y avoir sur terre un endroit où les choses sont à l’envers, où les arbres poussent vers le bas tandis que la pluie, la grêle et la neige tombent vers le haut ? L’idée folle selon laquelle la terre est ronde est la source de cette légende imbécile. »
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extinction
« Depuis que la vie est apparue sur la Terre il y a quelque 3 milliards et demi d’années, l’extinction des espèces est un phénomène normal et attendu, comme un bruit de fond récurrent nécessaire à l’émergence de nouveauté et de complexité (…) L’histoire de la vie est donc loin d’être un long fleuve tranquille, jalonnée qu’elle fut de crises et de violences dont on peut démontrer qu’elles sont génératrices de diversité biologique. Mais la crise actuelle, dont la sévérité ne sera pas moindre que celles des précédentes, a pour triste particularité d’être due à l’impact de l’homme qui porte donc la lourde responsabilité de s’immiscer dans des processus de nature géologique. » Jacques Blondel
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fusée
Moyen de locomotion d’objets ou de personnes visant à assurer un déplacement spatial, portant dans une zone difficile à observer pour le commun des mortels, les ambitions, les rêves, mais aussi les appétits ou encore les conflits, des acteurs susceptibles de s’y engager.
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géologie
Science qui a pour but d’étudier l’origine de la Terre, son histoire et sa structure, permettant de mieux comprendre les forces qui ont agi sur son évolution depuis plus de 4 milliards d’années et qui continuent d’agir aujourd’hui.
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A planet of the solar system, 4.56 billion years old – Satellite: Moon. The only planet on which life is known to exist, including the human species, raising the question of its relation to other species and to itself.
An indefinition is never final - you can modify or supplement it according to your own practices, opinions, knowledge, cultures or history.
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Il était une fois deux frères ennemis, Osiris et Seth…
Osiris était fils de Geb, dieu de la terre, et de Nout, déesse du ciel. Il était aussi le frère de Seth. Or à sa mort, Geb décida de partager son royaume en deux. Partage bien inégal puisqu’il confia à Osiris les terres fertiles, et à Seth les terres rouges du désert. De quoi, on le comprendra, nourrir beaucoup de rancune chez l’infortuné Seth. Puis Osiris épousa Isis et on dit que leur union fut heureuse. Ils dispensèrent leurs bienfaits aux hommes, Osiris leur apportant la culture du blé, la pêche, et Isis la médecine, le tissage. Mais Seth ne s’avoua pas vaincu, et il attendit patiemment son heure. Lors d’un banquet auquel il avait convié 72 de ses amis, il proposa à chacun des convives de s’allonger dans un coffre promettant de l’offrir à celui qui y tiendrait parfaitement. Les complices de Seth s’y essayèrent mais aucun d’eux n’avait la taille voulue. C’est lorsque le tour d’Osiris arriva que tous purent constater qu’il y tenait à merveille, le coffre semblait fait pour lui. En vérité il l’était. Tant et si bien que les auteurs du complot, Seth en tête, fermèrent le coffre sur lui puis le jetèrent dans les eaux du Nil non loin de Byblos. Osiris s’y noya. Mais Isis, épouse fidèle, n’avait pas dit son dernier mot. Elle partit en quête de son corps et, finit par le trouver. Elle le ramena en Egypte. Toutefois Seth profita d’un moment de relâchement pour découper le corps et en éparpiller les morceaux. Isis partit une nouvelle fois à leur recherche et à chaque fois qu’elle en trouva une partie, l’ensevelit sur place. C’est ainsi qu’elle enterra la tête à Abydos, le cou à Héliopolis, et ainsi de suite. Seul son sexe avait été avalé par un crocodile. Puis elle reconstitua son corps, et grâce à l’aide d’Anubis, se fit féconder. Horus devait naître de leur union. Elle embauma le corps, initiant la première momie, et c’est ainsi qu’Osiris devint le seigneur de l’Au-Delà, présidant à la pesée des âmes, assisté de Thot et Anubis. Quant à Horus, dieu à tête de faucon, dont le nom signifie « vengeur de son père », il s’opposa bientôt à Seth, dans une lutte sans merci. Il devait y perdre un œil* mais y gagner l’admiration de tous, devenant ainsi le symbole de la piété filiale.
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Jardin des Hespérides…
Il était un jardin connu pour abriter un pommier quelque peu spécial puisqu’il portait de célèbres pommes d’or. Gaia (la terre) l’avait offert à Héra en cadeau de mariage. Ajoutons que ce jardin était férocement gardé par un dragon, dénommé Ladon, depuis qu’Héra avait observé que les filles d’Atlas, les Hespérides, n’hésitaient pas à chaparder ces fruits exceptionnels. De son côté Atlas avait été prévenu qu’un fils de Zeus tenterait un jour de s’en emparer. C’est pourquoi il avait érigé des murailles tout autour de son jardin, dont l’emplacement du reste était tenu en grand secret. Lors de ces douze travaux, Hercule fut chargé d’aller les chercher. Ne sachant dans quelle direction s’élancer, il recourut aux services de Nérée qui, tentant de s’y soustraire, finit tout de même par lui conseiller de faire intervenir Atlas lui-même. Or entre-temps le sort d’Atlas avait connu une sévère infortune. Dans une lutte l’opposant à Zeus, dont il était sorti vaincu, il avait été condamné à supporter pour l’éternité le poids de la voûte céleste. Aussi Hercule songea-t-il qu’il pourrait aisément marchander son concours. Il lui proposa de porter un temps la voûte à sa place pendant que lui-même irait chercher quelques pommes. Restait à réduire la farouche résistance de Ladon, le dragon, qui lui fut acquise avec l’aide d’Hercule. C’est ainsi qu’Atlas revint victorieux, non sans songer à présent qu’il était libéré de cette épouvantable contrainte et qu’il pourrait fort bien la laisser à Hercule. Il lui annonça qu’il se rendrait lui-même auprès d’Eurysthée avec les pommes. Ce dernier dut alors recourir à une ruse pour tromper Atlas prétextant qu’il voulait juste s’emparer d’un coussin. Son stratagème porta (doublement) ses fruits. Et Atlas de nouveau enchaîné à son destin le regarda s’éloigner sans espoir de se recouvrer sa liberté. On dit qu’il la dut à Persée qui, grâce à la tête de la gorgone, le pétrifia, le transformant ainsi en un majestueux massif qui aujourd’hui encore porte le nom de l’Atlas.
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La légende du koala
On dit qu’une tribu recueillit un enfant à la mort de ses parents… Hélas, on ne fut pas très gentil avec lui et plus que tout, on l’assoiffait régulièrement ne lui donnant rien à boire, l’obligeant ainsi à mastiquer des feuilles d’eucalyptus. Un jour que les gens étaient partis à la chasse, l’enfant s’empara des récipients contenant l’eau et s’y abreuva abondamment puis il les emporta dans un eucalyptus. Tandis qu’il entonnait un chant magique, l’arbre grandit à perte de vue et l’enfant y grimpa pour se mettre à l’abri. À peine revenus de leur chasse, les gens s’aperçurent de ce qui s’était produit et prièrent l’enfant de leur rendre leurs récipients. S’il refusa tout d’abord, la promesse qu’ils lui firent de le traiter désormais plus gentiment finit par le convaincre. C’est pourquoi il descendit bientôt et les rejoignit. Mais lorsqu’il fut à leur portée, rompant leur promesse, les personnes le frappèrent de tous côtés. C’est alors qu’une chose extraordinaire se produisit car, sous leurs coups, l’enfant se transforma. Il se tassa, se couvrit de poils et tel un koala gagna en toute hâte l’eucalyptus dans lequel il prit la fuite pour ne plus jamais revenir.
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La petite fille aux allumettes
(d’après Hans Christian Andersen) Une petite fille sortit de chez elle dans le froid glacial de l’hiver. Elle ne subsistait qu’en vendant aux passants compatissants, quelques allumettes. Ce soir là, elle avait enfilé une paire de pantoufles trop grandes pour elle. Et les avait aussitôt perdues en esquivant le flot de la circulation. Tout autour d’elle l’empressement du Nouvel An battait son plein. Et la neige tombait. La petite fille savait qu’elle ne pouvait rentrer chez elle sans devoir affronter la brutalité de son père. Elle n’avait encore vendu aucune boîte d’allumettes et vacillant sur ses pieds brûlés par le froid, la rue lui paraissait un univers sombre et vide. Bientôt elle décida de se protéger dans le recoin d’une demeure. Et là, elle s’abattit de tout son petit poids, tentant de se blottir contre les murailles glacées. La Cité tourbillonnait d’énergie autour d’elle mais elle n’en recevait que l’écho sourd et lointain. C’est alors qu’elle décida de frotter une allumette. À peine celle-ci fut-elle allumée qu’il lui sembla qu’elle dégageait un rayonnement infini. Elle vit un poêle se dresser devant elle contre lequel elle s’empressa de presser ses pieds. Hélas l’allumette s’éteignit et le charme disparut avec elle. Alors elle décida de frotter une seconde allumette et là la magie opéra de nouveau. Elle vit une oie rôtie et en sentit tout l’arôme. Puis une fois encore l’émerveillement fut interrompu. De nouveau elle alluma ce petit bois magique et ce fut à présent un magnifique sapin tout illuminé qui se manifesta dans sa splendeur. Puis comme précédemment, il s’éteignit et une petite lueur s’en échappa qui gagna le ciel. La petite fille savait que cela signifiait qu’une personne mourrait bientôt, ainsi le lui avait confié sa grand-mère, dernièrement disparue. Alors, tandis qu’elle frottait une nouvelle allumette, c’est précisément sa grand-mère qui lui apparut. Elle qui l’avait tant aimée, et qu’elle chérissait plus que tout. Non, le charme ne cesserait point cette fois-ci. Une allumette après l’autre, elle maintint la présence de sa grand-mère. Celle-ci la prit dans ses bras et la porta devant le trône du Seigneur là où elle ne connaîtrait ni froid, ni faim, ni misère… Le lendemain du Nouvel An, des passants découvrirent dans ce petit recoin de la Cité, le corps d’une petite fille dont le froid avait volé la vie. Et chacun y alla de son commentaire. On aperçut bien les allumettes consumées, et certains firent même observer qu’elle devait être bien sotte d’avoir pensé qu’elles eussent pu la réchauffer. Qui se doutait alors qu’elle avait gagné le lieu de ses rêves, et qu’elle était à présent dans les bras de sa grand-mère loin de l’indifférence cruelle de ce monde ? Aussi amis, n’oubliez pas le soir du Nouvel An, si quelqu’un vous tend la main. Oui, n’oubliez pas de la réchauffer de votre bienveillance…
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La plume d’aigle et le déluge…
(conte crow) On dit que Unktehi, le monstre des eaux, décida un jour d’inonder la Terre. Il est difficile de savoir pourquoi, mais toujours est-il que le Grand Esprit le laissa faire. Aussi les eaux ne tardèrent-elles pas à monter et à tout submerger. Tout, sauf une petite montagne où les hommes se réfugièrent, juste à côté du village où l’on fabrique les pipes sacrées. Hélas la mort ne tarda pas à les y rejoindre et tous périrent. Tous, sauf une jeune fille que l’aigle Wanblee Galeshka vint agripper au dernier moment. Elle s’accrocha de toutes ses forces à ses pattes et c’est ainsi qu’elle fut sauvée. Puis ils se marièrent, car ces choses qui nous paraissent extraordinaires étaient autrefois possibles, et des jumeaux naquirent de leur union. Et c’est bien pourquoi, les Sioux continuent de porter une plume d’aigle en souvenir de ce sauveur. Au fait, le Grand Esprit finit par châtier Unktehi et le transforma en pierre !
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Là-haut…
« Lorsque là-haut le ciel n’avait pas encore de nom / Et qu’ici-bas la terre ferme n’avait pas de nom / Seul Apsou le premier, le progéniteur / Et Tiamat la génitrice qui les enfanta tous / Mêlaient en un seul tout, leurs eaux / Ni bancs de roseaux n’y étaient agglomérés / Ni cannaies n’y étaient discernables / Des Dieux nul n’était encore apparu / Ils n’étaient ni appelés de noms, ni lotis de destin… » Enuma Elish … Ainsi débute le grand texte sacré mésopotamien de l’Enuma Elish (qui en akkadien renvoie aux premiers mots : « Là-haut »). La suite raconte comment de l’Union de Tiamat, mère des eaux salées, et d’Apsou, père des eaux douces, naquirent les premiers dieux. Parmi eux se trouvaient An, qui lui-même enfanta Enki, mais aussi les Igigi et les Anunnaki, etc. Leur progéniture fut toutefois si vaste, et leur engeance si bruyante qu’Apsou conçut le dessein d’y mettre un terme. Or Enki en fut averti et, le devançant, le mit à mort. Puis il prit épouse et enfanta le divin Mardouk. Ce fut alors que Tiamat, pleurant la mort de son époux, entra dans un courroux sans égal. Naquirent en ces temps d’épouvantables monstres et Kingu, auquel fut confié le Destin. Mardouk fut chargé d’affronter pareille adversité. Mais il en fixa le prix : celui de régner sans partage. Il parvint alors à défaire ses ennemis, et en premier lieu Tiamat qu’il découpa en deux, créant le Ciel et la Terre, ainsi que montagnes, fleuves et au centre de tout : Babylone, la Cité sans pareille. Enfin furent créés les hommes, du sang de Kingu mêlé à l’argile. Hélas ceux-ci s’avèrent à leur tour trop dérangeants et un déluge les effaça de la surface de la Terre épargnant seulement l’un d’eux ainsi qu’un couple de chaque créature vivante.
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Les capteurs de rêve
Il était une fois un jeune homme qui partit à la chasse
Sa volonté était grande et son courage également
Son objectif : débusquer un orignal
Afin de satisfaire aux besoins des siensHélas la fortune ne fut pas de son côté
Et il s’avança fort loin
Tout en restant bredouilleC’est avec désespoir qu’il s’apprêtait à renoncer
Lorsqu’une grotte lui sembla un bon abri
Sur le chemin du retourIl s’y aventura lorsque, soudain
En surgit une bête effrayante
Prête à le dévorerIl s’enfuit à toutes jambes
Tout en craignant avoir été poursuiviPuis, pris d’une grande lassitude,
Il s’endormit
Pour une nuit pesante et inquièteEt ainsi furent désormais ses nuits
Peuplées de cauchemars
Et d’images monstrueuses se jetant sur luiToutefois, un jour, alors qu’il s’était assoupi dans la forêt
Quelle ne fut pas sa surprise au réveil
De constater que les cauchemars l’avaient quittéC’est alors qu’il aperçut
Non loin de sa tête, une toile d’araignéeIl tenta plusieurs fois la même expérience
Et fut en devoir de constater, qu’apparemment
Les toiles l’apaisaientEt c’est ainsi que naquirent les capteurs de rêves
Dits asubakatchin en langue ojibwé
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Les richesses de l’opale
Une légende aborigène dit qu’à l’origine du monde un arc-en-ciel déposa sur terre le créateur du Rêve. Il demeura un certain temps sur terre. Mais un jour, contre toute attente et dans le désarroi de tous, il décida de repartir. Alors l’arc-en-ciel l’emporta comme il était venu et disparut avec lui. Pourtant une chose inattendue survint car au pied de l’arc-en-ciel, sur la Terre d’Australie, le sol se transforma en pierres précieuses. Ainsi naquirent les richesses de l’opale… □ Coober Pedy en Australie du Sud en est la capitale, pas très loin de la Grande Clôture des Dingos – En langue aborigène, ce lieu signifie « trou de l’homme blanc » à l’image des 5000 km² de mines creusées dans tous les sens pour pouvoir accéder aux filons d’opale !
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minéral
Elément ou composé naturel inorganique, constituant de l’écorce terrestre, qui peut faire l’objet d’enjeux économiques et stratégiques majeurs.
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monde
Notion mouvante pouvant englober tout ce qui existe, ou simplement les êtres humains peuplant la Terre, voire de manière plus restrictive ce qu’on en connaît, le monde renvoie à la mesure de cette extension et de la place qu’elle prend dans le jugement.
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montagne
Lieu élevé dont l’ascension se caractérise par sa difficulté plus ou moins marquée (et son dénivelé) □ Par cette élévation, il peut ainsi rapprocher d’une entité (divinité), ou de soi-même □ Ce lieu est diversement habité (en collectivité, ou en ermitage) □ Il peut s’opposer à la vallée, ou à tout autre espace environnant (mer, désert, etc.), définissant ainsi un mode d’existence référentiel.
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Naissance de Tangun…
Hwan-in, maître du ciel, s’était aperçu que son fils Hwan-ung désirait plus que tout descendre sur Terre. C’est pourquoi il observa le monde des mortels et décida de l’envoyer sur le mont Taebak qui, comme on le sait, est le meilleur endroit qui puisse être. Hwan-ung s’y installa donc avec trois mille subordonnés, éleva un autel près d’un arbre de santal, et nomma ce lieu Shin-Si, ce qui signifie « cité divine ». Puis il enseigna aux humains l’ensemble des arts, la médecine, l’agriculture, etc. Or à cette époque, un tigre et une ourse vivaient ensemble dans une grotte, et partageaient un rtêve : devenir des hommes. Hwan-ung ému par leur souhait, voulut d’abord les mettre à l’épreuve. C’est ainsi qu’il leur confia quelques gousses d’ail et un bouquet d’armoise et leur annonça que s’ils réussissaient à s’en contenter durant 100 jours dans la grotte, leur vœu serait exaucé. Mais le tigre abandonna bien vite, et finalement l’ourse parvint à résister vingt-et-un jours. En récompense, l’ourse devint une superbe femme. Pourtant celle-ci ne fut pas entièrement satisfaite, car elle se sentait bien seule. Aussi Hwan-ung la prit-il pour épouse et de leur union naquit Tan-gun, fondateur en 2333 av. J.-C. du royaume de Ko-Chosŏn qui allait devenir la Corée. Le 3 octobre commémore cet acte de fondation de la Corée. Par ailleurs, la Corée du Nord a ouvert en 1994 un site où aurait été mise au jour la tombe de Tangun, assurant ainsi que la légende se confondait désormais avec les preuves historiques de l’existence de ce fondateur. Cette tombe se trouve au pied du mont Taebak dans le district de Kangdong près de Pyongyang.
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nature
Ensemble de tout ce qui forme l’univers et plus particulièrement la Terre indépendamment de l’homme.
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océan
Vaste espace d’eau salée partiellement connu auquel nous devons des richesses fondamentales à la survie des espèces et en particulier la nôtre, et dont une mauvaise gestion (surpêche, déchets, pollution…) met en danger les équilibres fondamentaux directement ou indirectement.
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Pangée
Selon la théorie de la tectonique des plaques, un supercontinent primitif hypothétique comprenant toutes les terres avant de se diviser en Laurasie et Gondwaland – Dérivé du grec ancien, pan : « tout, entier » et Gaia : « Mère terre, terre » – Proposé par Alfred Wegener en 1912 (L’origine des continents = Die Entstehung der Kontinente).
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According to the theory of plate tectonics, a hypothetical primitive supercontinent including all the landmass of the earth before spliting into Laurasia and Gondwanaland.
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parc national d’uluru-kata tjuta
« Ce parc, qui s’appelait autrefois parc national d’Uluru (Ayers Rock-Mont Olga), présente des formations géologiques spectaculaires qui dominent la vaste plaine sableuse du centre de l’Australie. L’immense monolithe d’Uluru et les dômes rocheux de Kata Tjuta, à l’ouest d’Uluru, font partie intégrante du système de croyances traditionnelles de l’une des plus anciennes sociétés humaines du monde. Les propriétaires traditionnels d’Uluru-Kata Tjuta appartiennent au peuple aborigène des Anangu. » (source : whc.unesco.org)
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planète
Corps céleste en mouvement dans l’univers, et plus particulièrement celui sur lequel l’espèce humaine a prospéré y profitant des conditions exceptionnelles de la Vie au regard limité de ce que nous en savons. De l’exploitation de ses ressources à sa gestion complexe et parfois chaotique, la relation à la planète témoigne de l’idée que les sociétés humaines se font de cet équilibre de la vie, et de la place que l’homme y prend, interrogeant leur volonté d’assurer ou non le bien-être de chacun, présent ou à venir. La dite « sauvegarde de la planète » ou sa « mise en danger » renvoient à cet équilibre de la Vie et à la manière dont les êtres humains sont et seront ou non capables d’en considérer la primauté par-delà leurs jeux d’intérêt ou de conflit.
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poids
Pression exercée par la pesanteur sur tout corps terrestre – Appréciation que cela peut suggérer relativement à un sentiment de légèreté ou au contraire d’accablement, objectif ou non.
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Rat musqué…
Un mythe originel raconte que le monde était autrefois peuplé d’animaux et vivait en paix. Hélas ceux-ci se disputèrent et il fallut que le Grand Esprit y mette un terme. C’est ainsi que le déluge les raya tous, ou presque, de la surface de la terre. Puis il fallut repeupler, et Wisakedjak demanda alors aux quelques animaux ayant survécu de plonger au fond des océans pour en revenir avec une poignée de terre. Nombre s’y essayèrent, comme le castor, la loutre, le canard… sans succès ! C’est alors que le rat musqué plongea à son tour. Trois soleils passèrent sans qu’on le vit refaire surface. Aussi le crut-on mort. Puis enfin il réapparut, au soulagement de tous, un sourire au coin des lèvres. Il avait réussi ! Wisakedjak accueillit cette poignée de terre non sans émotion et la déposa sur le dos de la tortue. Ainsi put reprendre le cours du nouveau monde, flottant sur une carapace de tortue. (s. : anishinabenation.ca).
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relief
Formes variées de la surface terrestre, souvent associées à un climat donné, influençant la vie qu’y mènent (ou non) les êtres vivants et en particulier les humains.
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renoncer
« Jouis des choses de la terre en y renonçant. » – Gandhi
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rêve
Fragment de temps et d’espace, généré par le sommeil permettant d’ouvrir, ou entrouvrir les portes d’un monde où certaines réalités s’estompent pour céder la place à la galaxie des possibles.
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rêve
rêve m. : « Littérature du sommeil. » – Jean Cocteau
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rêve
« Certes, un rêve de beignet, c’est un rêve, pas un beignet. Mais un rêve de voyage, c’est déjà un voyage – Marek Halter.
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rêve
« Le rêve est un phénomène que nous n’observons que pendant son absence. Le verbe rêver n’a presque pas de présent. Je rêve, tu rêves – Paul Valéry.
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rêve
« Le dictionnaire est une machine à rêver – Roland Barthes.
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site néolithique de Çatal höyük
« Les deux grands tertres de Çatal Höyük forment ce bien de 37 hectares situé dans le sud du plateau anatolien. Le tertre oriental, qui est le plus haut, présente 18 niveaux d’occupation néolithique datant de 7400 à 6200 av. J.-C. Il rassemble des peintures murales, des bas-reliefs, des sculptures et d’autres éléments artistiques et symboliques. Les deux tertres témoignent de l’évolution de l’organisation sociale et des pratiques culturelles au moment où les êtres humains s’adaptaient à la vie sédentaire. Le tertre occidental témoigne de l’évolution des pratiques culturelles pendant la période chalcolithique datant de 6200 à 5200 avant J.-C. Çatal Höyük fournit un important témoignage de la transition qui s’est opérée entre les villages et les agglomérations urbaines qui se sont succédé sur un même lieu pendant plus de 2000 ans. Il s’agit d’un site présentant une organisation unique composée de maisons serrées les unes contre les autres, sans rue, et avec accès par les toits. » (source : whc.unesco.org)
Çatal Höyük, la ville sans rues
Une anomalie urbaine ?
Peut-être si, pour nous
Toute cité doit répondre à un cahier des charges
Observer une série de normes
Parmi lesquelles la rue tient toute sa place légitime
Mais pourquoi ne pas nous ouvrir à d’autres options ?Çatal Höyük, « la colline de la fourche(tte) » (turc),
En activité dès le VIIIe millénaire avant notre ère, en Anatolie centrale
Mise au jour sous la direction de James MellaartEmploi important de l’obsidienne pour l’outillage
Présence marquée des bucranes
Figurines en terre cuite, dont celle de la « dame aux fauves »Çatal Höyük que l’on traversait par les toits, et les cours
Tandis que les demeures conservaient les défunts en leurs soubassements
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sol
Partie superficielle de la terre.
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soleil
Etoile centrale au système planétaire auquel appartient la Terre fournissant l’énergie nécessaire à la vie.
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solidarité
« Désormais la solidarité la plus nécessaire est celle de l’ensemble des habitants de la Terre. » Albert Jacquard
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souterrain/e
En profondeur de la terre, restant masqué aux yeux de ceux qui sont en surface, pouvant faire selon les espèces l’objet d’investigations diverses (abri, habitat, cachette, curiosité, exploration scientifique…).
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terre
Planète sur laquelle l’espèce humaine a prospéré y posant la question de son rapport aux autres espèces et à elle-même.
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txalaparta
Instrument d’origine basque consistant en une ou plusieurs planches de bois assemblées, posée(s) sur deux paniers ou appuis (recouverts de feuilles de maïs ou de peaux), et sur lesquels deux joueurs frappent à l’aide de bâtons nommés makilas □ Rappelant le galop du cheval selon certains, la txalaparta est un instrument puissant au rythme soutenu
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zodiaque
Ensemble de douze divisions stellaires, représentées par des signes attachées en particulier à la date de naissance et aux dates des événements de la vie, auxquelles certains attribuent des significations déterminantes.
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